Je vous rappelle que l'hôpital public disposera de 1,7 milliard supplémentaire cette année et que les restructurations visent non pas à fermer des hôpitaux, mais à proposer aux Français ce qu'on appelle la « gradation des soins ». En d'autres termes, il faut être au plus près des Français pour le premier recours – les hôpitaux de proximité doivent être la porte d'entrée de l'hospitalisation – et maintenir une médecine de très haute qualité dans des centres d'excellence, avec des coopérations entre les établissements de santé.