J'ai donc deux questions à vous poser.
A la suite des rapports Raimbourg et Houillon, et face au projet de déjudiciarisation de notre pays vers lequel vous semblez nous entraîner, vous engagez-vous à agir dans la transparence en prenant le temps d'une véritable concertation avec tous les professionnels concernés ?
Par ailleurs, quels moyens financiers mettrez-vous à disposition des juridictions afin qu'elles puissent oeuvrer efficacement, sachant que le budget de la justice française est au vingt-troisième rang sur vingt-huit au sein de l'Union européenne ?