Madame la présidente, madame la ministre, monsieur le rapporteur, chers collègues, je voudrais, avant d'aborder la position de notre groupe à ce moment de la procédure parlementaire, faire deux observations. La première visera à rappeler l'objet précis de ce texte – vous me pardonnerez si je répète des choses qui ont été dites, mais j'ai aussi entendu beaucoup de digressions. La seconde sera de méthode, pour mettre en garde contre une approche trop émotionnelle du sujet.
Il ne s'agit pas de débattre aujourd'hui de la politique d'immigration, ni même du régime de l'asile en général.