Vous pouvez vous en réjouir, mais nous continuerons à défendre nos positions.
Quant à vos propos sur les Alpes-Maritimes, monsieur Coquerel, j'espère que Mme la ministre y répondra, car vous venez de mettre gravement en cause les autorités de la République et le préfet de ce département. Nous sommes dans un État de droit, aussi je ne puis accepter les propos que vous venez de tenir à l'encontre de ceux qui sont en charge de l'application de nos lois, notamment la police aux frontières, qui effectue un travail remarquable.
Dans les Alpes-Maritimes, il y a eu 49 000 non-admissions, car nous sommes, depuis les attentats du 13 novembre 2015 à Paris, dans un cadre dérogatoire au traité de Schengen.