Mais cela ne doit pas non plus empêcher d'être extrêmement attentif aux motivations et aux comportements de ceux qui cherchent à en bénéficier, car ce qui fait la grandeur de notre démocratie peut aussi en faire la faiblesse. C'est d'ailleurs ce qui s'est produit en Allemagne, en 2015, où un tiers des réfugiés syriens ne l'étaient pas en réalité, comme le ministre de l'intérieur allemand en personne l'a constaté.
Les craintes qu'éprouvent nos concitoyens sont légitimes. Tâchons de les rassurer.