Madame la députée, comme s'y est engagé le Président de la République, nous voulons réduire à six mois l'examen de la demande d'asile, parce qu'il faut que celles et ceux qui peuvent prétendre à l'asile demain voient leur situation examinée rapidement et que celles et ceux qui seront déboutés n'aient pas perdu le lien avec leur territoire et avec leurs familles.