Monsieur l'ambassadeur, certains de ces flux migratoires peuvent-ils s'apparenter à une fuite des cerveaux ? Autrement dit, le départ de personnes assez qualifiées n'aboutit-il pas à une perte de compétences pour ces pays ? À une époque, il se disait qu'il y avait plus de médecins béninois à l'Assistance publique de Paris, que dans tout le Bénin !