Voilà l'expérience de gens qui sont allés sur place sans a priori et sans vouloir en faire un combat politique métropolitain.
Il faut aussi garder à l'esprit le fait que la première ville comorienne du monde est Marseille, et les franco-comoriens méritent qu'on travaille avec eux sur ce problème.
Cela dure depuis 45 ans et cela ne pourra pas durer 45 ans de plus. Il faut en sortir et la sortie est par le haut, par un dialogue avec l'Union des Comores, même si c'est difficile. La bonne solution serait que la circulation soit possible mais que le stationnement soit limité, que les Comoriens puissent venir en visite sans nécessairement s'établir à Mayotte. C'est évidemment plus complexe à mettre en oeuvre dans des politiques publiques, mais il ne faut pas faire de Mayotte un combat de politique nationale.
Cette convention va dans le bon sens même s'il faut aller plus vite et plus loin.