S'agissant, Monsieur Chassaigne, des contrats globaux de MCO, je ne crois pas qu'ils comportent un risque de privatisation du MCO. Au contraire, c'est la DGA qui les passera, ce qui garantirait à long terme les intérêts de l'État. Pour certains métiers ou certaines fonctions, le recours au privé est pertinent ; mais de façon générale, l'idée sous-tendant ces contrats globaux est bien de défendre les intérêts de l'État.