Nous la conduirons avec une méthode, qui est de dialoguer avec tous, avec l'ensemble des États membres, même ceux dont les positions sont a priori diamétralement opposées. Cela n'exclut pas les contacts privilégiés avec nos partenaires de l'Alliance du routier, groupe de pays ayant vocation à s'ouvrir. Nous conduirons également cette discussion avec la conviction que l'Europe sociale a trop longtemps été un slogan creux, auquel nos concitoyens n'adhèrent plus. Nous préférons l'Europe qui protège en assurant des garanties concrètes pour les droits des travailleurs du secteur routier.