Puis, en 2012, j'ai été appelé par le ministre d'alors, M. Fabius, pour revenir au Quai d'Orsay afin de mettre en place la réforme de « la diplomatie économique », qui devait être incarnée par un diplomate – accepté par le milieu – disposant aussi d'une expérience opérationnelle en la matière. Je pense que nous ne réussirons à réformer l'État que s'il y a des dizaines de passages de managers entre le public et le privé.