Ne pouvons-nous pas imaginer, autant de fois que possible, de procéder à ces prélèvements au moyen de prises d'empreintes afin de pouvoir au minimum les comparer aux fichiers nationaux des étrangers – l'application de gestion des dossiers des ressortissants étrangers en France (Agedref), le fichier Visabio et, pourquoi pas, le fichier européen Eurodac ? Cela permettrait d'être plus vigilant quant au risque d'intrusion d'un dossier de régularisation dans notre pays.
S'agissant des prélèvements biologiques, les données ne sont-elles conservées que par la défense et, si oui, ne faut-il pas envisager de les partager ou de les coupler avec un autre fichier national d'enquêtes ?