Jean-Christophe Niel, directeur général de l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) :
Ce que je peux dire, c'est que, selon nos analyses, il n'y a pas de défauts. Maintenant, s'il existe des éléments tendant à démontrer le contraire, nous sommes évidemment preneurs et sommes tout prêts à les étudier.