Voilà l'écosystème marchand que vous avez créé autour du service public de l'enseignement supérieur !
En outre, madame la ministre, cette réforme de l'accès à l'université « pose des difficultés philosophiques ou techniques liées à l'examen des candidatures ». Ces mots auraient pu être les miens, mais ils sont ceux de l'Inspection générale de l'administration de l'éducation nationale et de la recherche. En effet, votre fameux « oui, si » et les dispositifs d'accompagnement prévus, soit le coeur de votre réforme, ne sont quasiment pas mis en place faute de moyens. Les établissements pointent du doigt « l'insuffisance de financement de la réforme et les délais de mise en oeuvre trop courts ».