Peut-être me suis-je mal fait comprendre : je considère que les ONG ont une valeur à apporter dans le débat public. Du reste, il existe aujourd'hui de nombreuses instances de dialogue dans lesquelles chacun, y compris ces ONG, peut s'exprimer et interroger ; c'est d'ailleurs ce que souhaitent les Français, selon une étude de l'IRSN. Ma remarque portait davantage sur la définition de l'expertise – c'est, pour nous, un point sensible, car nos critères sont très précis en la matière – et du lanceur d'alerte qui, juridiquement, est une personne isolée, qui n'a pas les moyens de s'exprimer et qui a des problèmes avec sa hiérarchie.
Pour ce qui est des scénarios, nous ne les connaissons pas, car l'ONG à qui nous avions demandé de nous les communiquer ne l'a pas fait. Nous ne pouvons donc pas en parler.