C'est la moindre des choses en effet. Le problème, c'est que cela existe. Dans un rapport rédigé en 2013 par notre ancien collègue Christophe Sirugue pour le bureau de l'Assemblée, on pouvait lire ceci : « Il peut ainsi arriver qu'un collaborateur exerce, à côté de son contrat collaborateur, une fonction rémunérée par des représentants d'intérêts. »
Nous espérons donc, chers collègues, que nous adopterons à l'unanimité cet amendement, qui interdit le versement par les représentants d'intérêts de toute rémunération aux collaborateurs de parlementaires.