Je comprends – et je partage – la finalité de ces amendements : nous devons donner à toutes celles et à tous ceux qui veulent participer aux réserves la possibilité de le faire le plus facilement possible quand ils ont un travail. Au-delà du socle de cinq jours d'autorisation d'absence qui est prévu par le code du travail, la philosophie actuelle consiste à inciter au dialogue avec les entreprises par toute une série de dispositifs, fiscaux ou d'autre nature. Quelques partenariats existent déjà. Je suis réservé sur ces amendements, car je crains qu'une durée de dix ou de vingt jours ne soit trop contraignante pour certaines entreprises, en particulier les petites.