Le temps de l'instruction, qui nous crée des problèmes avec l'Europe, n'est pas sans lien avec les moyens donnés. Nous tenons à ces juridictions spéciales où interviennent des pensionnés qui peuvent porter un regard particulier : on ne traite pas un blessé de guerre comme un accidenté de la route. Cette spécialisation est garante de la considération que l'on doit porter à nos victimes et à nos blessés de guerre. Nous maintenons cet amendement.