Y aurait-il deux catégories de jeunes, dans ce pays – d'un côté, ceux à qui vous déclariez, le 17 mars dernier : « nous avons besoin de vous », ou encore : « nous travaillons pour votre génération » et, de l'autre, les plus vulnérables, que vous laissez sur le bord de la route ? Nous ne pouvons l'imaginer.
Monsieur le Premier ministre, pouvez-vous préciser comment ce dispositif de droit commun pourrait encore être mobilisé pour accompagner nos jeunes les plus en difficulté ? Au-delà, pouvez-vous préciser quels moyens concrets vous entendez consacrer à l'insertion sociale et professionnelle durable de nos jeunes ?