Concernant la création de 6 000 postes supplémentaires, il faut en premier lieu rappeler qu'il y a déjà des postes vacants. Plus inquiétant, depuis quatre mois, les candidats se raréfient et l'armée a du mal à armer ses effectifs. Il n'y a qu'à aller voir dans les centres de recrutement ! De plus, les trois quarts de ces renforts sont repoussés au prochain quinquennat, avec un nouveau mur créé en 2023. Une fois encore, ce n'est pas sérieux, ni crédible.
Peut-être qu'aucun média ne reprendra mes propos de ce jour, par peur de subir le joug jupitérien.