Réponse des ingénieurs : oui. Lorsque l'on travaille sur la défense, sur la protection de nos intérêts, le fait d'être toujours dans la course technologique ne doit pas nous interdire de considérer que les outils dont nous nous servons pourront encore être utilisés – j'entends les propos qui viennent d'être tenus sur la résilience. Cela est d'autant plus vrai dans le cas d'un événement comme celui que je viens de mentionner où l'état de faiblesse, pour le coup, pourrait favoriser les agressions avec des armements plus rustiques.