Au début, c'est indolore, on ne se rend compte de rien, avant que, petit à petit, le mal ne s'installe et ne s'accumule parce qu'on entretient de moins en moins les bâtiments et les équipements, l'ensemble du patrimoine.
J'ai été fort critique hier, à la tribune. Toutefois, la justice me pousse à affirmer que si nous nous mettons à considérer que l'entretien du patrimoine est nécessaire, alors nous faisons collectivement oeuvre utile et c'est probablement un des points à la fois les plus discrets et les plus positifs de cette LPM.