Madame Mirallès, à la première lecture de votre amendement, mon avis était qu'il était déjà satisfait. La dernière phrase du même alinéa indique en effet que le service de santé des armées « participera à l'amélioration de la détection et de la prise en charge des blessures psychiques ». Cependant, en réfléchissant et après avoir discuté avec vous dans le cadre de la commission, il me semble que, comme le dirait le président Chassaigne, il est parfois utile de se répéter : le fait d'évoquer les blessures physiques et psychiques montre tout l'intérêt que nous portons au réconfort et au soin de nos militaires blessés. J'émets donc un avis tout à fait favorable et je vous remercie d'avoir déposé cet amendement.