Au risque de me répéter, je précise que l'objectif n'est pas de plonger les armées dans la misère. Je dis simplement que je ne sais pas si l'objectif de 2 % est le bon cap. Nous pourrions avoir besoin d'un taux moindre comme de dépasser celui-ci, et il faudra pouvoir le faire. Il n'est question ni de misère ni de richesse : il s'agit d'être dans une démarche de pragmatisme absolu.