Si, je vous demande d'avoir confiance dans nos soldats. Ils sont formés, entraînés, ils doivent répondre à des règles d'engagement précises et limitées. Faites-leur confiance !
Monsieur Lecoq, vous avez parlé de la sûreté de l'État. Vous rendez-vous compte ? Ce n'est pas la question ! Nous ne parlons pas de la sécurité de l'État, mais de la sécurité de nos soldats : il y a tout de même un fossé entre ces deux concepts ! Vous pouvez contester les modalités d'intervention de nos soldats ou les procédures de contrôle, d'accord, mais n'employez pas de grands mots comme cela, d'autant qu'avec la « sûreté de l'État », on est renvoyé à certaines époques douloureuses de notre histoire.
Faisons attention à nos propos. Nous sommes à l'Assemblée nationale, nos concitoyens regardent nos débats, …