Il s'agit de parer à des menaces mortelles contre nos forces ou contre les populations qui les entourent. C'est de cela que nous parlons, et de rien d'autre, madame Obono. Vos grandes théories sur les libertés publiques ne sont donc pas de mise. Mieux vaut considérer les cas de figure pratiques, et aussi, comme le disait M. le rapporteur, faire confiance aux règles d'engagement de nos soldats. Je rappelle par ailleurs les précautions dont nous avons entouré l'article 23 : il est précisé que les personnes concernées seront informées des motifs pour lesquels le prélèvement sera réalisé, …