Madame la ministre, vous nous avez convaincus – à propos du cadre. Force est de constater que des armes françaises sont aujourd'hui vendues à l'Arabie saoudite et servent à ce que l'on sait au Yémen. Pire : toute notre stratégie de sortie de crise au Mali et au Sahel repose sur l'organisation du G5 Sahel, dont 25 % du financement est assuré par cette même Arabie saoudite. Cela ne laisse pas de nous rassurer.