Votre réaction, Madame Charrière, me surprend. Il faut cesser d'être naïf ; il faut raison garder. Même si la présomption d'innocence doit prévaloir, on ne peut pas prendre de risque dans le domaine de l'éducation s'agissant des questions de radicalisation et des personnes fichées. Si des personnes sont « fichées S », il y a une raison pour cela. Il s'agit ici de prévenir.