En tant qu'ancien recteur, je peux vous dire que cette possibilité existe et qu'elle est utilisée, le rapporteur vient de le rappeler. Il faut laisser faire les autorités académiques. Dans un certain nombre de cas, il n'y a pas de raison que les contrôles soient inopinés. Dès lors qu'il y a suspicion, les contrôles le sont. Qui plus est, des réunions sont organisées par le préfet au moins une fois par mois pour faire le point de la situation avec tous les services de l'État. Faisons confiance à notre administration.