Je confirme que, d'un point de vue technique et du point de vue de la sûreté, je suis tout à fait confiant dans la capacité de nos réacteurs à être exploités jusqu'à soixante ans. Cela ne signifie pas pour autant qu'ils le seront : encore une fois, nous nous conformerons aux décisions qui seront prises notamment dans le cadre de la programmation pluriannuelle de l'énergie. Si, dans le cadre de cette programmation, il nous est demandé d'arrêter un certain nombre de réacteurs avant qu'ils n'atteignent cet âge, bien évidemment, nous appliquerons ces décisions.