Cet amendement tend à remédier à l'application imparfaite de la loi du 26 juillet 1968, dite « de blocage », qui est insuffisamment prise en compte par les autorités étrangères, notamment parce qu'elle n'est pas appliquée de manière satisfaisante par les pouvoirs publics. Elle constitue par ailleurs une source de complication majeure pour nos entreprises.