Mais tant que nous sommes en déficit, nous ne sommes pas en excédent. Et tant que nous ne sommes pas en excédent, nous continuons à nous endetter. La dette reste un poison lent, qui pèse sur la croissance française et sur les générations futures. Je vous confirme donc, madame la députée, qu'avec le Premier ministre et le ministre de l'action et des comptes publics, Gérald Darmanin, nous sommes totalement déterminés à tenir le cap de la réduction des dépenses publiques et de la dette, et de la bonne tenue des finances publiques. Cela fait bien longtemps qu'elles en ont besoin.