Non, aucun avantage. Et je vous dirai qu'à titre personnel, je me bats depuis plus de vingt ans contre la pratique des prêts de titres parce que je considère que c'est de l'anticapitalisme pur. Or là, on m'a forcé la main : je n'ai pas eu le choix. Si nous ne signions pas cet accord, l'opération ne se faisait pas et nous allions au dépôt de bilan. Cela aurait été juste un cataclysme… Nous n'avons tiré de cette affaire aucun avantage financier, rien. En aucun cas cet accord n'a été une aide pour Bouygues.