Monsieur Leblanc, nommé à la tête de l'ACNUSA, vous disposerez de pouvoirs spécifiques sur les onze principales plateformes, et d'un pouvoir de sanction à l'encontre des compagnies aériennes.
Votre future fonction a donc retenu toute mon attention, car l'aéroport de Nice-Côte-d'Azur est la deuxième plateforme aéroportuaire de France après Paris. Il présente aussi la caractéristique d'être un aéroport en ville, ce qui génère évidemment des nuisances, et même un danger pour les riverains.
Or, ces dernières années, de nombreux incidents ont été à déplorer, certaines compagnies n'ayant pas respecté les trajectoires prévues pour atterrir sur cet aéroport, certes d'approche délicate. À Nice, trois approches sont possibles : l'approche « Saleya » vers l'ouest, l'approche « Riviera » vers l'est, et l'approche « instrument landing systems » (ILS). Mais pouvez-vous accélérer la mise en oeuvre d'une quatrième approche, actuellement à l'étude, utilisant les satellites Galileo ?