Si j'en crois les chiffres, les plateformes aéroportuaires émettent chaque année 6 000 tonnes de dioxyde d'azote et un million de tonnes de gaz à effet de serre, pour la seule Île-de-France.
Or vous n'avez pas évoqué le sujet de la qualité de l'air. Les groupes de puissance auxiliaires des avions, ou auxiliary power unit (APU), représentent à eux seuls respectivement 12 % et 17 % de ces émissions. L'arrêté du 28 juillet 2012 prévoit-il des dispositions suffisantes ?
Vous n'avez pas parlé des aéroports internationaux, situés aux frontières de notre pays, tels que l'aéroport de Genève. Or les nuisances sonores associées se font sentir sur le territoire national. Quel est votre point de vue sur la gestion internationale des nuisances sonores dues aux plateformes aéroportuaires ?