– En effet. Le don est gratuit en Europe. De manière générale, lorsqu'il y a des annonces anticipées, le taux de refus est moindre. Il en va de même dans le programme Maastricht III sur la fin de vie car l'abord des proches est facilité et ceux-ci ont eu le temps de préparer le décès – en tout cas, l'état de sidération devant le décès est moins important. L'objectif est de parvenir à un taux de refus de 25 % d'ici à 2021. C'est un vrai défi. Pour y parvenir, il faudra actionner tous les leviers : la formation, la pédagogie, l'organisation de l'hôpital, etc.