– Nous inaugurons maintenant l'examen des notes courtes, nouveau format que j'ai fortement appuyé à mon arrivée au sein de l'Office. Il s'agit de travaux plus concentrés et plus rapides qui nous permettent de nous inscrire dans le temps court du monde politique. Cela n'a, bien sûr, pas vocation à se substituer aux rapports qui ont fait la réputation de l'Office et continueront à être élaborés.
Nous nous sommes inspirés des notes courtes du Parliamentary Office of Science and Technology, le POST, du Parlement britannique. Je remercie nos trois vice-présidents qui se sont prêtés à ces premiers travaux en s'appuyant, avec les deux secrétariats de l'Office, sur les membres du conseil scientifique de l'Office, sur des experts et sur des correspondants d'ambassades.
La maquette a déjà été présentée et discutée ; chaque note courte comprend quatre pages et, éventuellement, un feuillet rassemblant les références, les notes infrapaginales et les noms des personnes et des organismes consultés. Certaines de ces notes courtes peuvent constituer, bien évidemment, le cas échéant, le point de départ de travaux plus longs, même si ce n'est pas leur vocation principale.
Nos trois collègues vont présenter succinctement leurs notes, en rappelant le contexte, les objectifs, la méthodologie, l'état de l'art et les recommandations.
Des notes plus développées – une quinzaine de pages – ont également été produites sur deux de ces trois sujets. Il est difficile de les publier en tant que rapports ou d'en faire des éléments de communication. Je propose donc de les publier sur la page internet de l'Office, dans un dossier complémentaire d'approfondissement, et d'y associer les réponses des ambassades, des académies et des experts.