Je veux rassurer M. le rapporteur sur le fait que nous n'oublions pas les salariés. Moi qui ai « bénéficié » des heures supplémentaires de M. Sarkozy, je peux vous dire que nous n'avions pas le choix d'effectuer ces heures : nous avions l'obligation de passer nos samedis au travail plutôt qu'en famille, et pour ma part je me serais bien passé d'effectuer ces heures supplémentaires, défiscalisées ou non.