Cet amendement, qui constitue un cavalier législatif, n'est rien d'autre que le copié-collé d'une proposition de loi rejetée le mois dernier par notre commission. Par ailleurs, il manque de discernement, dans la mesure où, dans certains secteurs, le fort recours au temps partiel s'explique par l'activité même de l'entreprise concernée. J'y suis donc défavorable.