En préparant ce travail législatif, notre groupe a relevé un certain nombre de problèmes liés à la période entre la demande d'asile et la décision d'obtention ou de refus. Pendant cette période de temps, le demandeur d'asile n'est pas encore en politique d'intégration assez forte et nous nous demandons si ce n'est pas du temps perdu pour une formation de qualité et l'apprentissage du français. Nous savons qu'un peu plus de 80 000 demandeurs sur 100 000 sont déboutés. Avez-vous envisagé un rapprochement ou une coordination avec les missions de l'action extérieure de l'État, spécialement sur ce sujet ? Sans préjuger du résultat, on peut imaginer que ce rapprochement permettrait de mieux travailler et de grandir notre dispositif sur le fond et dans son organisation pratique.