Il faut à mon avis faire très attention, madame Le Peih, à ne pas étendre le débat à l'ouverture de la convention de Genève aux réfugiés climatiques, car c'est au fond le droit d'asile que nous mettrions en péril.
Par ailleurs, je crois que la seule façon de régler la question des déboutés du droit d'asile qui vont d'un pays à l'autre, c'est la reconnaissance mutuelle. J'essaierai de plaider en ce sens dans mon rapport.