Nous étions ensemble avec Jacques Mézard, à Montpellier, il y a quelques jours. Je pense que le sujet est suffisamment important pour ne pas donner lieu à des débats politiciens. Je vais être très clair avec vous : personne n'est à la rue par choix. La rue, elle tue. Aujourd'hui, toute personne restant à la rue représente un échec collégial, un échec de l'ensemble de la collectivité.