Je voudrais vous dire une chose, chère collègue : c'est qu'ici, nous sommes souverains. Nous sommes l'assemblée souveraine ; et de ce fait, nous avons la possibilité, et même l'exigence envers ceux qui nous ont élus, d'amender un texte comme nous l'entendons, notamment si nous estimons qu'il ne va pas assez loin en matière de moralisation de la vie publique.