Delphine Gény-Stephann, secrétaire d'état auprès du ministre de l'économie et des finances :
Premièrement, parce qu'elle n'est pas financée. Il n'est pas sérieux de prétendre compenser des dépenses publiques qui s'élèvent à plusieurs milliards d'euros en rehaussant fictivement les taxes sur le tabac.