Il s'agit d'un droit à expérimenter pendant deux ans. Si la mesure proposée est utile pour les salariés, si elle peut leur faire regagner du pouvoir d'achat et si elle n'a aucune conséquence préjudiciable, je ne comprends pas la volonté non seulement d'écarter le débat, mais aussi de refuser le droit à tester.
Je ne comprends pas les réponses qui nous ont été données, qui s'en tiennent à des principes généraux et surtout font obstruction au test d'une mesure favorable au pouvoir d'achat des hommes et des femmes de ce pays, qui en ont bien besoin. C'est pourquoi nous nous opposons à la motion de rejet préalable.