Monsieur, vous avez évoqué le problème de main-d'oeuvre et le fait que les étudiants soient moins nombreux à choisir la filière nucléaire, par manque de perspectives. Lors d'une audition de l'ASN par l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) sur le démantèlement des centrales, il a été dit que la main-d'oeuvre allait manquer pour réaliser les travaux en toute sécurité. A-t-on recensé les besoins en main-d'oeuvre, à tous les niveaux de compétences – techniciens, ingénieurs, chercheurs – et a-t-on une idée du calendrier ?