Vous avez consacré toute votre carrière au service public et à la défense des intérêts économiques de notre pays. N'avez-vous pas le sentiment d'avoir participé au démantèlement d'un géant, d'un fleuron français ? Considérez-vous, comme certains, que les entreprises et les actionnaires n'ont pas de passeport et que la nationalité est désormais secondaire s'agissant des investissements – sauf pour les Chinois, qui ont très mauvaise presse ?