D'autant moins qu'il y avait une solution de rachat. En fait, Alstom a payé son amende avec le produit du rachat.
Les observateurs ont été troublés par la débauche de moyens mis en oeuvre par les deux entreprises pour accompagner cette fusion. Côté Alstom, on avait dix cabinets d'avocats, M. Henri Poupart-Lafarge m'a parlé d'une banque conseil, mais vous m'avez dit qu'il y en avait une seconde : vous n'étiez pas seuls ?