Je me permets d'ajouter un derrière éclairage sur ce point : il y a de très nombreuses transactions qui ne se font pas.
Sur la totalité des transactions que les banques d'affaires étudient ou dans lesquels elles interviennent comme conseil chaque année, celles qui ne se font pas sont plus nombreuses que celles qui aboutissent. Je parle de transactions pour lesquelles les enjeux financiers et le nombre de conseillers sont aussi élevés que celle dont nous parlions.