(Interprétation de l'anglais.) Je commencerai par les plus mauvaises pratiques, qui consistent à commettre des infractions à la loi, à détruire des documents, etc. Il est certain qu'Alstom n'a pas procédé de cette manière. Autre mauvaise pratique : le manque de transparence.
Tout au contraire, une bonne pratique consiste à partager les faits découverts avec les autorités, et cela au moment même de la découverte des actes de corruption. Une société devrait commencer par prendre en main la situation en engageant des enquêtes internes, en traitant la question, en envisageant les remèdes à mettre en place et en partageant cette information avec les autorités en charge de la réglementation.
Une telle approche devrait limiter, voire pourrait faire disparaître la nécessité d'être cité devant la justice, comme ce fut le cas d'Alstom.